Ma démarche est basée sur mes lectures, formations et expérimentations depuis treize ans ! Je vous en livre quelques pépites,
entre science et conscience !

Attachée à mes anciennes croyances

D’aussi loin que je me souvienne, les mystères de l’existence de l’Atlantide, l’Egypte ancienne et autres civilisations anciennes m’ont toujours fascinée !

Mais pourquoi ? Pour quelles raisons une enfant qui sait tout juste lire a besoin de se plonger dans les livres et illustrations en lien avec l’Egypte et se passionne plus tard pour les romans de Christian Jacq ou encore Agatha Christie ?

A l’horizon de mes sept, huit ans, je voyais régulièrement au pied de mon lit un homme légèrement transparent qui m’observait, d’une quarantaine d’années, châtain, aux yeux marrons… J’avais eu si peur que je me cachais sous ma couette. Son visage passait alors la matière. J’étais terrorisée. Mes parents n’avaient pas les mots, c’était ainsi…

Au collège, ma classe et moi étions parti visiter les Hospices de Baune, dont les scènes mythiques du film la Grande Vadrouille ont gravé les esprits de notre génération et celle de nos parents !
En entrant dans la « Salle des Pôvres », j’avais ressenti des frissons qui m’ont glacé le sang, de lourdes nausées, des haut-le-cœur. Des images défilaient dans ma tête comme des visions du passé. Ma maîtresse avait dû me faire sortir sous la surveillance d’une dame qui travaillait là. J’avais les larmes aux yeux de tristesse, mal au ventre… Sans en comprendre le sens ni en avoir la moindre raison… Elle m’avait simplement dit : « Cela arrive parfois, il y a des gens qui se sentent très mal comme toi, particulièrement dans cette pièce, comme s’il ressentait toute la souffrance des gens qui avaient été soigné ici… »

Je ne vous fait étal que de ces expériences, car les énumérer mériterait l’écriture d’un long roman !

Au fil des années, me sentant bizarre, différente, incomprise, j’ai ensablé ces souvenirs, me concentrant sur le fait que j’avais beaucoup d’imagination, pour une enfant qui n’avait jamais vu ni lu de telles scènes…

J’ai accueilli les croyances de mes parents que rien n’existe après la mort, que j’avais une très grande imagination et que surtout il ne fallait en parler à personne, jusqu’à y croire « dur comme fer ».

J’ai réfuté durant ma vie d’adulte les théories ésotériques, assumant être athée. Cependant, les épreuves de la vie nous amène parfois à changer notre conception de la vie et de nos croyances (familiale, transgénérationnelle, sociétale, religieuse, économique…).

Dans cet élan qui fustigeait les religions et ne jurait que par la laïcité et l’intellect, j’ai vécu contre toutes attentes, un bouleversement physique dans une boutique de pierres, recommandée par la somato-thérapeute qui me suivais, pour gérer mes émotions, le décès de mon père et mon divorce épuisant.

Ce bouleversement, vécu tel un tsunami, fut une montée de chaleur le long de ma colonne vertébrale, qui se répartissait dans tout mon corps, semblant sortir par toutes ses extrémités. J’avais le souffle étonnement calme, mon corps avait grandi, mes mains me brûlaient et avaient revêtu une couleur rouge bien marquée. Des images était montées à ma conscience… Un ressenti, des émotions qui ne pouvaient être créés par mon mental, car il n’y avait aucune intention de vivre ce genre d’expérience. Bien au contraire, la peur m’avait tétanisée.

Le propriétaire de la boutique quant à lui, se réjouissait pour moi, le sourire aux lèvres.
« Vos canaux s’ouvrent spontanément ! Vous avez de la chance. Beaucoup de personnes éveillées rêveraient d’être à votre place ! ».
J’avais seulement sur le moment entendu « mes canaux »… « mes canaux de quoi ? canalisation d’un évier, de quoi ? »

Dans les jours qui suivirent, se déclenchèrent des bourdonnements dans les oreilles, des acouphènes très désagréables. Une nuit je me suis levée, dérangée par les bruits extérieurs et ouvris le volet de ma chambre, pour demander aux voisins de parler plus doucement… Mais il n’y avait personne dans la rue… 

J’avais absolument besoin de réponses tant l’expérience avait été physiquement, psychologiquement, émotionnellement tant puissante que déroutante.
Je traversais alors une longue route de terreur à l’idée d’être folle, schizophrène. Les cauchemars peuplaient mes nuits, dans lesquels on m’enlevait mes enfants, on me plaçait dans des centres médicalisés…
Mon médecin de l’époque ne trouva aucune raison à mes symptômes, tenta de me rassurer sur le fait que j’étais saine de corps et d’esprit, me parla d’hyperacousie et me prescrit du repos. 

Nul autre médecin n’apporta de réponse à mes questions brûlantes et à mes ressentis.

J’étais alors graphiste et attachée de presse à mon compte, ancrée solidement dans mes croyances que rien n’existe après la mort, que nous ne vivons qu’une seule vie « à subir », que seule la science donne des réponses fiables et prouvées. Elles allaient voler en éclats les unes après les autres dans les mois qui suivirent.

Je me suis donc naturellement tournée vers les lectures, clés de compréhension qui allaient m’aider à trouver des réponses, tant sur ce qui se passait après le décès de mon père, que mon expérience dans la boutique, mon hyperacousie ou encore mes effrois de l’enfance.

C’était en 2012 !

Je suis en joie de vous partager certaines de mes recherches et mes clés de compréhension.

J’ai fait de mon mieux pour vous retrouver ces sources, si certaines vous semblent inexactes ou erronées, je vous serais reconnaissante de m’en faire part. Je reste sensible au fait qu’internet délivre des informations très intéressantes et avérées, mais que parfois des erreurs peuvent se glisser. Aussi, je vous invite à garder votre discernement et d’effectuer par vous-mêmes ces mêmes recherches.
 A vous de vous en faire une opinion et qui sait, cela pourrait éveiller de magnifiques pépites !

Qu’est-ce qu’une croyance ?

Une croyance est une structure intérieure, souvent invisible, à travers laquelle un individu ou un groupe interprète le monde.

C’est une idée tenue pour vraie, non parce qu’elle a été démontrée, mais parce qu’elle s’est imprimée dans la conscience, par héritage, expérience, éducation, culture ou sensibilité personnelle.

Elle agit comme un filtre perceptif : elle organise ce que l’on voit, ce que l’on attend, ce que l’on juge possible ou impossible.

Une croyance n’est pas seulement un contenu mental : c’est une trame vivante qui oriente nos gestes, nos émotions, nos choix, et même notre manière d’habiter le réel.

Les croyances peuvent être :
– sociétales, économiques, politiques, culturelles, nées d’une époque ou d’un contexte collectif
– familiales, transmises par imprégnation, loyauté ou survie émotionnelle
– transgénérationnelles, héritées silencieusement des histoires qui nous ont précédés
– individuelles, fruits d’un vécu intime qui a laissé une empreinte durable et tangible
– religieuses, transmise de manière consciente ou inconsciente à travers les siècles

Certaines croyances ouvrent, d’autres restreignent.
Certaines nous servent, lorsque d’autres nous desservent.
Certaines soutiennent notre expansion, d’autres façonnent des frontières qui ne sont plus visibles mais continuent d’agir.

En essence, une croyance est :
Une vérité adoptée, consciente ou non, qui façonne notre rapport au monde jusqu’à ce que l’on choisisse de la questionner, de la transformer ou de la laisser se dissoudre.

 

Les Mémoires Akashiques

Un concept unificateur : Champ Akashique, Mémoires Akashiques, Champ d’information

Dans la littérature scientifique émergente, dans la philosophie de l’esprit et dans la théorie des systèmes, revient une intuition profonde : la réalité serait portée et structurée par un champ d’information fondamental.

Les traditions spirituelles nomment ce champ : Akasha, Champ Akashique, Archives akashiques, Mémoires Akashiques.
Les physiciens parlent d’ordre implicite, de vide quantique structuré, de champ unifié, d’information fondamentale.
Les neurosciences contemporaines évoquent une conscience non locale.

Ces termes désignent différentes portes d’entrée vers une même idée :
l’existence d’une trame subtile, un champ informatif qui relie, contient et organise toute la réalité.

Ce chapitre unificateur permet de comprendre que :
– Champ d’information,
– Champ Akashique,
– Akashic Field,
– Champ de conscience non local,
– Mémoires Akashiques,

sont autant de formulations d’un même concept fondamental.

 

Traditions du monde et équivalents universels des Mémoires Akashiques

Les cultures du monde entier ont développé l’idée d’un espace où la mémoire, la conscience, l’information et l’histoire de l’univers sont conservées.

Hindouisme
Akasha :
éther subtil, matrice de l’univers.

Polynésie (Tahiti, Hawaii)
Le Mana : principe d’énergie-information.
Le Mo‘olelo : mémoire cosmique du monde.

Judaïsme
Le Séfer Zikhronot, « Livre des Souvenirs » : mémoire sacrée des actes et des êtres. 

Christianisme
Le « Livre de Vie » : registre spirituel où chaque être est inscrit. 

Japon
Akashic (アカシック) :
archives akashiques.
Ki :
énergie-information.
Kokoro :
mémoire intérieure.

Islam
La « Tablette Préservée » (Al-Lawh al-Mahfûz) : mémoire cosmique totale, contenant passé, présent et futur.

Philosophie grecque
L’Anima Mundi : âme du monde.
Le Logos : la structure informationnelle de la réalité.

Chamanismes amérindiens
La « Toile du Vivant » et le « Grand Mystère » : mémoire et réseau d’informations du vivant.

Aborigènes d’Australie
Le « Dreamtime » : mémoire cosmique inscrite dans la terre, le ciel, les récits et les êtres. 

Bouddhisme (Yogācāra)
Ālayavijñāna : conscience-réservoir.

Chine
Qi : souffle informationnel.
Tian Shu : Livre céleste.
Shi : trame d’information.

Corée
Haneul : ciel-mémoire.
Gi : énergie subtile.
Sin : esprits porteurs de mémoire.

Toutes ces traditions convergent vers une idée universelle :

il existe un champ subtil où la mémoire et l’information de l’univers sont conservées.

 

Conscience non locale : avancées et limites des neurosciences

 

1. Expériences de mort imminente (NDE) 

Les Pionniers Contemporains de la Conscience, quand la science interroge ce qui survit au-delà du cerveau.

Depuis plusieurs décennies, médecins, neuroscientifiques, cardiologues et philosophes se penchent sur une question qui traverse toutes les traditions spirituelles : que devient la conscience lorsque le corps s’arrête ?

Leurs travaux, menés dans des hôpitaux, des salles de réanimation et des universités prestigieuses, mettent progressivement en lumière un constat inattendu : la conscience pourrait être plus vaste, plus subtile et moins dépendante du cerveau que ce que l’on croyait.

Voici les cinq figures majeures dont les recherches ont fait basculer notre compréhension moderne de la conscience.

Raymond Moody, celui qui a ouvert le champ

Philosophe et médecin, Raymond Moody est considéré comme le père de l’étude moderne des expériences de mort imminente (EMI).

Son livre Life After Life (1975) a révélé des milliers de récits décrivant, dans des cultures différentes, le même phénomène : sortie du corps, lumière, sensation d’amour inconditionnel, rétrospective de vie.

Moody n’a pas expliqué le phénomène, il l’a nommé, décrit et légitimé. C’est lui qui a ouvert la voie à des recherches plus scientifiques, menées ensuite par les médecins.

Pim van Lommel, le cardiologue qui a apporté la rigueur clinique

En 2001, c’est dans The Lancet* que le cardiologue néerlandais Pim van Lommel publie la plus vaste étude prospective jamais menée sur les expériences de mort imminente (EMI) :

344 patients réanimés après un arrêt cardiaque, suivis sur plusieurs années.

Cette publication marque un tournant historique : pour la première fois, une étude d’une telle ampleur et d’une telle rigueur apparaît dans une revue scientifique de premier plan, ouvrant un dialogue inédit entre médecine, conscience et expérience humaine.

Ses découvertes sont bouleversantes : malgré l’absence d’activité cérébrale mesurable, certains survivants témoignent d’une conscience claire et parfois vérifiable de leur environnement.

Van Lommel propose le modèle d’une conscience non locale, où le cerveau serait un récepteur plutôt qu’un producteur de conscience. Son étude reste, aujourd’hui encore, l’une des références les plus solides du domaine.

*Fondée en 1823, The Lancet est l’une des revues médicales les plus prestigieuses au monde. Reconnue pour son exigence scientifique et son influence internationale, elle publie depuis deux siècles des recherches majeures qui font avancer la connaissance médicale et les enjeux de santé publique.

Sam Parnia, le réanimateur qui explore la frontière entre vie et mort

Médecin intensiviste à l’NYU Langone, Sam Parnia mène les programmes AWARE et AWARE-II, utilisant EEG, protocoles de vérification et interviews approfondies pour comprendre ce que vivent les personnes réanimées d’un arrêt cardiaque.

Certains survivants rapportent des perceptions exactes de la scène de réanimation, tandis que des oscillations cérébrales complexes ont été enregistrées jusqu’à 60 minutes après l’arrêt cardiaque.

Parnia pose une question simple, mais révolutionnaire :
« Et si la conscience persistait plus longtemps que le cerveau lui-même ? »

Eben Alexander, le neurochirurgien qui a vécu ce que ses patients décrivaient

Pendant 25 ans, Eben Alexander a exercé comme neurochirurgien, convaincu que la conscience était produite par le cerveau.
En 2008, il tombe dans un coma profond à cause d’une méningite bactérienne fulminante.

Son cortex (siège de la pensée, de l’identité, des perceptions) est décrit comme totalement non fonctionnel. Pourtant, Alexander vit une expérience profonde, claire et structurée : un état de conscience expansé, cohérent, impossible selon les modèles neuroscientifiques classiques.
À son réveil, il se retrouve transformé et publie Proof of Heaven (2012), best-seller international, un livre devenu un phénomène mondial.

Ce qui le rend unique : il possède la double légitimité du scientifique et du témoin direct. Ses travaux postérieurs tentent de construire un pont entre neurosciences et conscience non locale, un domaine qu’il explore avec sérieux et humilité.

Bruce Greyson, le psychiatre qui a établi une « scientification » de l’expérience de mort imminente

Professeur de psychiatrie à l’Université de Virginie, Bruce Greyson est l’un des chercheurs les plus respectés au monde sur les EMI (Expériences de Mort Imminente).Il a consacré plus de 40 ans à interviewer, classifier et étudier ces expériences.

Il est l’auteur de la Greyson Scale, l’outil développé en 1983, pour mesurer la profondeur et les caractéristiques d’une EMI.

Ses recherches, publiées dans de nombreuses revues académiques, s’intéressent aux effets psychologiques, spirituels et transformateurs durables de ces expériences.

Greyson montre que :
– les EMI sont cohérentes,
– se retrouvent dans toutes les cultures,
– transforment profondément les individus,
– et ne correspondent ni à des hallucinations, ni à des délires, ni à des rêves.

Son livre After (2021) synthétise quarante années d’observations cliniques et de données scientifiques.

Ce que ces cinq pionniers révèlent ensemble

Malgré des parcours très différents, leurs recherches convergent vers une idée majeure :

La conscience est plus vaste que le cerveau. Elle persiste parfois lorsque le corps s’arrête.
Elle porte une intelligence propre, cohérente, organisée.

Cette vision ouvre un champ nouveau, celui d’une conscience non locale, ou élargie, capable d’exister indépendamment du support biologique.

C’est dans cette perspective que s’inscrit naturellement mon travail : l’exploration des Mémoires Akashiques, états de conscience expansés, intuition profonde, rencontres intérieures.

La science ne prouve pas le monde subtil, mais elle le rend de plus en plus plausible, à travers des données mesurables, des observations cliniques et des témoignages rigoureux.

 

 2. États modifiés de conscience – recherche contemporaine

 Robin Carhart-Harris – PNAS (2012, 2016)

Robin Carhart-Harris est un neuroscientifique britannique internationalement reconnu pour ses recherches sur les états modifiés de conscience. Fondateur du Centre for Psychedelic Research à Londres et professeur à l’UCSF, il a signé plus de 100 publications dans des revues prestigieuses et développé des théories majeures sur le rôle du Default Mode Network et la plasticité cérébrale.

Les images cérébrales montrent :
désactivation du Default Mode Network (DMN),
augmentation de la connectivité globale,
état de conscience élargi associé à un sentiment d’unité. 

Cela correspond à ce que de nombreuses traditions décrivent comme un accès au champ d’information.

 

3. Neurothéologie

Andrew Newberg

Les études d’IRM sur méditants, moines, prêtres et chamans montrent que :
les zones de l’orientation spatiale diminuent leur activité,
ce qui crée une perception d’unité et d’interconnexion.

Newberg suggère que les expériences spirituelles reflètent un niveau profond de la conscience, possiblement non réductible au cerveau.

 

4. Modèles post-matérialistes – Mario Beauregard 

Dans The Spiritual Brain et Expanding Reality, Beauregard défend que :
la conscience possède des propriétés non locales,
elle ne peut pas être entièrement expliquée par l’activité neuronale,
certains phénomènes (expériences mystiques, intuitions, synchronicités) suggèrent un accès à un champ plus vaste.

 

Physique quantique, interconnexion et champs fondamentaux

 

1. Non-localité quantique

 L’intrication montre que deux particules séparées interagissent instantanément. Cela implique un niveau de réalité non local.

 

2. David Bohm – Ordre Implicite

 Bohm écrit que :
la réalité visible est un dépliement d’un ordre plus profond,
cet ordre contient toute l’information,
l’univers est une totalité indivisible.

“The universe is an undivided wholeness.”

“In the implicate order, everything is enfolded into everything.”

 

3. Karl Pribram – Principe holographique

 Pribram propose que :
la mémoire humaine fonctionne comme un hologramme,
les informations sont distribuées et non localisées,
notre réalité pourrait être une projection d’un champ informationnel.

“The brain is a hologram, interpreting a holographic universe.”

 

4. Penrose & Hameroff – Orch OR

 Leur théorie suggère que la conscience émerge :
de processus quantiques dans les microtubules,
d’une interaction avec la structure fondamentale de la réalité.

“Consciousness is a phenomenon beyond computable physics.” Penrose

Consciousness may be a fundamental property of the universe.” Hameroff

 

Ervin László et le Champ Akashique

 Ervin László, penseur mondial, fondateur de la philosophie des systèmes, auteur de plus de 100 ouvrages traduits en plus de 20 langues, nommé deux fois au Prix Nobel de la Paix, a proposé un modèle scientifique du Champ Akashique.

 Dans Science and the Akashic Field (2004), il écrit :

“The Akashic Field is the memory of the universe itself.”

“In the cosmic field, all things are interconnected.”

Selon László :
l’univers est informé à un niveau fondamental,
les particules, les êtres, les systèmes échangent de l’information,
la conscience est une propriété émergente mais aussi un accès à ce champ,
l’Akashic Field est la structure profonde du réel.

Conférences :
ICI

 

Les personnalités incontournables

Albert Einstein (physicien théoricien)

Il est souvent associé à la relativité, il a aussi été l’un des pionniers fondateurs de la physique quantique.

Son article de 1905 sur l’effet photoélectrique, pour lequel il reçoit le Prix Nobel en 1921, introduit l’idée révolutionnaire selon laquelle la lumière peut se comporter comme des quanta, de petites unités d’énergie.

Ce concept deviendra l’une des pierres de base de la physique quantique moderne.

Ce qu’il a apporté :

Il propose le concept de photon, amorçant toute la mécanique quantique.

  • Il contribue à la naissance de la statistique quantique (Bose-Einstein).

  • Il inspire des notions encore centrales aujourd’hui, comme les fluctuations quantiques ou la dualité onde-particule. 

Ce avec quoi il n’était pas d’accord :

Même s’il a ouvert la porte, Einstein est resté critique envers certains aspects de la mécanique quantique, notamment :

  • son caractère probabiliste, qu’il résume dans la célèbre formule : « Dieu ne joue pas aux dés. »

  • l’idée que la réalité ne serait pas déterminée avant d’être observée ;

  • les phénomènes d’intrication quantique, qu’il qualifie d’“action fantôme à distance” (spooky action at a distance).

Paradoxalement, cette critique donnera naissance à certains des tests les plus importants de la physique quantique contemporaine (notamment les travaux de Bell, Aspect et consorts), qui confirmeront ensuite des aspects non locaux du monde quantique. 

Einstein n’a pas seulement inspiré la physique quantique : il en est l’un des fondateurs, l’un des premiers critiques, et indirectement l’un de ceux qui ont permis son expansion moderne.
Il a façonné la manière dont nous pensons la lumière, l’énergie, la matière et même la nature profonde de la réalité.

Lettre à Robert S. Marcus, 4 février 1950 — traduction française officielle

 « L’être humain fait partie d’un tout que nous appelons l’univers. Il se perçoit comme séparé du reste, une sorte d’illusion d’optique de sa conscience. »

 

Nikola Tesla (ingénieur électricien, inventeur visionnaire et physicien spécialisé dans les systèmes électromagnétiques et les technologies avancées) 

Nikola Tesla (1856–1943) était un inventeur, ingénieur électricien et physicien serbo-américain dont les travaux ont révolutionné le monde moderne. Il est l’auteur d’une autobiographie (My Inventions, 1919), de centaines de brevets officiels et de nombreux articles techniques. Ses contributions avérées incluent le moteur à induction, le courant alternatif polyphasé, la bobine Tesla, la radio, la télécommande, l’éclairage fluorescent et plusieurs systèmes de transmission sans fil. Ses écrits authentiques témoignent d’un esprit visionnaire, précis et profondément intuitif.

“I do not rush into actual work. When I get an idea, I start at once building it up in my imagination.” My Inventions, 1919

Citation attribuée – Giornale Italiano (1931)

“My brain is only a receiver. In the Universe, there is a core from which we obtain knowledge, strength and inspiration.” 

“If you want to find the secrets of the universe, think in terms of energy, frequency and vibration.”

 

Philippe Guillemant (ingénieur physicien français)

Philippe Guillemant est diplômé de l’École Centrale Paris, docteur en physique et directeur de recherche au CNRS. Ses travaux scientifiques portent sur les systèmes complexes et l’intelligence artificielle.

Parallèlement à sa carrière académique, il développe une réflexion personnelle sur la conscience, le temps et la réalité, présentée dans des ouvrages et conférences très suivies.

Il propose une vision novatrice du temps et de la conscience, dans laquelle l’information jouerait un rôle central.

Bien que ces hypothèses n’appartiennent pas au cadre scientifique établi, elles ouvrent un espace de réflexion intéressant pour des approches spirituelles telles que les Mémoires Akashiques.

La notion d’un champ informationnel non local résonne symboliquement avec l’idée akashique d’une mémoire subtile de l’univers, tout comme la question des potentiels temporels évoque les trajectoires d’âme et les possibles évolutifs décrits dans les traditions anciennes, notamment celles associées à l’Atlantide. 

La vision de Philippe Guillemant selon laquelle le temps contient des potentiels multiples résonne symboliquement avec l’idée akashique de trajectoires d’âme et de possibles en évolution.

Vidéos pour en savoir plus :
La physique du futur lumineux
Le champ akashique
Il faut décloisonner la recherche scientifique
– 

Mario Beauregard (neuroscientifique canadien)

Neuroscientifique canadien reconnu pour ses recherches sur la conscience et les expériences spirituelles. Ses travaux explorent l’hypothèse d’une conscience non locale, inspirée de certains principes de la physique quantique. Il est l’un des chercheurs contemporains les plus cités dans l’étude des EMI et des états modifiés de conscience.

« La conscience ne peut pas être réduite à l’activité cérébrale. »

Deepak Chopra

Deepak Chopra est un des auteurs les plus influents au monde dans le domaine du bien-être spirituel et de la conscience. Avec plus de 90 ouvrages traduits dans plus de 40 langues et des millions d’exemplaires vendus, il incarne une passerelle contemporaine entre sagesse ancienne, conscience et développement personnel. Ses travaux, que certains qualifient de “médecine intégrative”, inspirent aujourd’hui de nombreuses personnes cherchant à harmoniser corps, esprit et esprit universel.

Le Livre des Secrets (J’ai Lu)
« L’akasha est le premier élément. Il est l’espace, l’éther dont tout procède. »

 Guérison Quantique
« Nos corps sont locaux, mais notre conscience est non-locale. Elle est un champ de possibilités infinies. »

Le Corps Quantique
« L’univers est un champ ininterrompu de conscience. La séparation que nous percevons est une illusion. » 

 

Gregg Braden

Gregg Braden est présenté comme un “scientifique, éducateur international, pionnier d’un paradigme qui relie science, politique sociale et potentiel humain”.

Avant d’être un auteur “spirituel / “conscience & potentiel humain””, il aurait travaillé dans des métiers techniques : géologue informaticien chez des sociétés pétrolières (dans les années 70), puis comme concepteur de systèmes informatiques pour des entreprises de défense (Martin Marietta), puis en 1991 comme Technical Operations Manager dans un géant de l’informatique (entreprise de la Silicon Valley), ce qui lui donnerait un “bagage technique / ingénierie / informatique / géologie”.

Sa “production” : il est “cinq fois auteur best-seller du New York Times” selon sa biographie.

Il aurait été nommé en 2020 pour le Templeton Prize (Prix Templeton), un prix honorant des personnalités “qui consacrent leurs talents à élargir notre vision du but humain et de la réalité ultime”.

Il est indiqué comme membre de certaines organisations, parmi lesquelles l’American Association for the Advancement of Science (AAAS), et des “instituts” ou “cercles de leadership évolutif / de pensée visionnaire / de recherche de “nouveaux paradigmes”.

 

Lien vers ses conférences :
– « La divine matrice » : ICI
– « Need to know » : ICI
 

 

En résumé

La physique quantique, les neurosciences, la théorie de l’information et la philosophie contemporaine convergent pour montrer que :

la réalité est tissée d’information,

la conscience dépasse potentiellement le cerveau,

l’univers est interconnecté,

un champ fondamental semble sous-jacent à la matière.

 

En conclusion, pour aujourd’hui !

La science empirique, par définition, s’appuie exclusivement sur l’observation mesurable, la reproduction expérimentale et la validation par des données vérifiables. À ce titre, elle ne peut ni prouver ni infirmer l’existence des Mémoires Akashiques ou d’une civilisation telle que l’Atlantide, car ces réalités ne relèvent pas d’un phénomène mesurable avec les outils actuels. Ce constat n’est pas une limite spirituelle : c’est une limite méthodologique.

 

 

Pourtant, lorsque nous ouvrons notre esprit, comme le font ces nombreuses personnalités internationalement reconnues dans les domaines de la physique, de la philosophie ou de la conscience, un autre paysage apparaît. Leurs découvertes offrent un cadre conceptuel rigoureux et cohérent où la science et la conscience ne s’opposent plus, mais se rencontrent.

 

Les notions aujourd’hui établies, comme la non-localité, l’intrication ou la possibilité d’un champ d’information fondamental, montrent qu’il est tout à fait plausible d’accéder à des informations situées au-delà du temps et de l’espace.

 

Dans cette perspective, l’idée d’un champ akashique (un espace informationnel contenant les traces, les mémoires et les évolutions de tout ce qui a été) devient compatible avec une vision moderne et élargie du réel. Si ce champ a enregistré l’histoire du vivant depuis la nuit des temps, alors il a également pu conserver les traces d’une civilisation avancée aujourd’hui disparue, comme l’Atlantide, ainsi que les savoirs ancestraux qui lui étaient liés. Rien, dans la définition même de la science empirique, ne permet d’en nier la possibilité ; simplement, elle ne possède pas encore les instruments pour en établir la preuve.

Pour ma part, treize années d’exploration consciente de ce champ akashique, que certains nomment Akasha, Mémoire Akashique ou encore Champ d’Information, m’ont permis d’y évoluer comme on évolue dans un espace bien réel. C’est une expérience intérieure, vivante, continue, qui s’est confirmée au fil des rencontres, des lectures et des transmissions. Aujourd’hui encore, cette réalité constitue un terrain tangible dans lequel je baigne et que je cultive avec rigueur et discernement.

Je suis convaincue que dans les vingt années à venir, les découvertes concernant les états modifiés de conscience et les capacités que choisissent de développer certaines personnes, seront reconnues officiellement. Non plus vue comme une bizarrerie, mais comme tu tangible, validé par la communauté scientifique !

 

Mais une chose demeure essentielle : c’est à chacun d’en faire l’expérience, d’en vérifier la résonance intérieure et de se forger sa propre opinion.

 

Je partage ici un chemin, des compréhensions, des explorations, mon expérience.

 

À chacun de marcher le sien !

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